« L’affirmation d’une surmorbidité psychique des enseignants est une idée largement répandue […] »
Jaoul, G; Kovess, V. Teacher’s burnout. Annales Médoci-Psychologiques. Vol 162(1) Feb 2004, 26-35, Elsevier Science.
« L’affirmation d’une surmorbidité psychique des enseignants est une idée largement répandue […] »
Jaoul, G; Kovess, V. Teacher’s burnout. Annales Médoci-Psychologiques. Vol 162(1) Feb 2004, 26-35, Elsevier Science.
Suite à une initiation au Cowboys Fringants / Paul Piché / Bélanger / Dobacaracol,etc. je me plie, en échange et avec plaisir, à la musique de Davide Van de Sfroos, Angelo Branduari, Fabrizio de Andrè, Zucchero, Modena City Ramblers et cie…
J’ai un faible pour de Sfroos, il chante souvent en patois tessinois, dont j’adore le son, surtout que le vocabulaire est souvent étymologiquement plus proche du français que l’italien.
Branduardi, lui, est apparu parce que sa musique fait parfois, dans ses moments de ménestrel, un peu penser à de la Bottine Souriante ou à Suroît, comme quoi le monde est petit.
Dans la série gastronomie, j’ai fait connaissance avec une autre institution culinaire française, le bouchon lyonnais. Ça n’a pas été dans la dentelle, avec un menu centré comme il se doit sur la tripe: gras-double, poêlé et en tablier de sapeur.
Moi qui pensais avoir une tranche de foie de veau et un peu de lardons (erreur induite par un Lyonnais d’adoption)…
Finalement, c’est même pas gras le gras-double, mais c’est assez roboratif. Précédé par un saucisson et du pâté, gratinés dans leur sauce aux oeuf, et suivi de ficelle, d’une tarte aux pralines, et d’un café bien poussé, c’était une expérience à faire.
Je n’ai pas pris le caneton (faudra y retourner, moi aussi je veux mon canard numéroté!), mais le veau était excellent. Ça m’a fait bien plaisir d’aider ma grand-mère à cocher une chose de plus sur sa liste de chose à faire un jour en me laissant inviter à la Tour d’Argent. C’est vrai qu’ils n’ont plus qu’une étoile, des trois qu’ils ont déjà eu, mais pour un client facile comme moi, c’était une expérience fort agréable.
Aussi appris que mon arrière grand-mère a déjà emprunté la presse à canard de l’hôtel Windsor pour permettre à son mari de surprendre ses hôtes en leur offrant du canard au sang. Fallait y penser…