Retour sur les sites médicaux en ligne

Bonjour…..tel un disque gravé (style 33 tours et non un cd avec des informations précieuses), je reviens sur un sujet. Le 19 octobre, j’écrivais sur la nécessité des professionels à l’ère numérique.

Aujourd’hui en lisant BNA, j’ai constaté que la préoccupation de la médecine en ligne semblait aller au-delà de l’ordre des médecins, jusqu’à la Commission Européenne. En effet, selon un article sur ZDNet, la Commission Européenne veut introduire des normes de qualité minimale quant aux sites offrant des conseils médicaux ou pharmaceutiques.

Malgré le fait que je considère qu’il soit important de ne pas suivre de faux conseils médicaux et je comprends bien la problématique soulevée par les commandites de compagnies pharmaceutiques qui fondent des conseils offerts, je conçois difficilement la solution pratique pour la Commission Européenne. Comment croyez-vous qu’il soit possible pour la Commission d’instaurer, et surtout d’assurer le respect de normes de qualités minimales des sites Web de conseils médicaux???

La question est lancée

Gouvernement cheap

Cyberpresse nous rapporte que le gouvernement du Québec entend faire concurrence aux logiciels d’impôt lui-même, et sans frais d’utilisation. Merveilleux, mais :

« Si le nombre d’utilisateurs Mac naviguant sur le portail du gouvernement du Québec n’augmente pas, précise d’ores et déjà Manon Tremblay, il est peu probable que des efforts et des dollars soient investis dans le développement d’applications faites sur mesure pour eux. Actuellement, environ 2 % du trafic sur le portail gouvernemental est généré par des ordinateurs de type Mac, alors que les normes internationales suggèrent d’ignorer toute clientèle représentant moins de 5 % du total.  »

La p’tite madame Tremblay devrait réviser ses chiffres et ne compter que le trafic provenant de contribuables curieux… Le « portail gouvernemental » n’intéresse certainement personne si ce n’est pas pour le travail, dans sa forme actuelle.