Open standards/closed implementations? When you have a public/open spec that can’t be implemented without licensing some IPR’s.
Closed standards/open implementations? When you want open implementations conforming to the original spec. Sun thinks it might be interesting. Exercise is left to the reader to guess who else might be reflecting on this same issue.
WIPO 2.0: A Declaration for the Future of IP (Donna Wentworth): «
There’s a battle going on at the World Intellectual Property Organization (WIPO) — one that could accurately be described as a struggle for the soul of the organization. The central question is whether WIPO will coninue to promote the protection of intellectual property for its own sake — IP « uber alles » — or, as a number of developing countries and others are advocating, pursue a range of initiatives that reflect such notions as « balance, » « innovation, » or « access. » What’s at stake is much more significant than the harmony or disharmony of IP regulations. As James Boyle points out in his Manifesto on WIPO and the Future of Intellectual Property, WIPO decisions affect everything from the availability and price of AIDS drugs, to the patterns of international development, to the communications architecture of the Internet.
Ce dernier élément est particulièrement intéressant…
[Via Copyfight.]
Brendan Luyt in First Monday: « New information and communication technologies are seen as a potent source of advancement for many countries in Africa, Asia and Latin America and have increasingly featured as topics of discussion in international fora. Who benefits from the rapid rise of this issue on the international agenda? This article argues that the promotion of the digital divide as a policy issue benefits four major groups: information capital, developing country governments, the development « industry, » and global civil society. »
Petit article de Salon-dans-le-bon-vieux-temps: crooning the expat blues.
Je dois admettre que je sais pas trop quoi en penser. J’ai (ou j’ai eu) quelques symptomes, mais en même temps, Genève c’est pas le Japon, et en partant je suis pas américain. Quoi que je ne veux pas non plus faire d’aveuglement volontaire.
Enfin bref, c’est une opinion que je considère.
Si on a fait grand cas des piètres performances athlétiques de l’Inde, on oublie que la Suisse et le Canada sont tout de même plus haut dans le classement des derniers.
Enfin, au moins ils participent. Moi je suis à peine bon pour les qualifications en Usure de chaise de bureau sur 10h et Élimination de cafféine par équipe. Quoi que j’ai des chances de médailles en Triathlon Genevois qui comprends Recherche de logement (épreuve d’endurance), Faires ses courses pendant les heures de lunch (heureusement qu’il y a les Noctures jusqu’à 20h le jeudi…) et Picoler en montagne.
The 9th circuit has upheld the Grokster decision and makes this interesting obiter:
« The Copyright Owners urge a re-examination of the law in the light of what they believe to be proper public policy, expanding exponentially the reach of the doctrines of contributory and vicarious copyright infringement. Not only would such a renovation conflict with binding precedent, it would be unwise. Doubtless, taking that step would satisfy the Copyright Owners’ immediate economic aims. However, it would also alter general copyright law in profound ways with unknown ultimate consequences outside the present context.
Further, as we have observed, we live in a quicksilver technological environment with courts ill-suited to fix the flow of internet innovation. AT&T Corp. v. City of Portland, 216 F.3d 871, 876 (9th Cir. 1999). The introduction of new technology is always disruptive to old markets, and particularly to those copyright owners whose works are sold through well established distribution mechanisms. Yet, history has shown that time and market forces often provide equilibrium in balancing interests, whether the new technology be a player piano, a copier, a tape recorder, a video recorder, a personal computer, a karaoke machine, or an MP3 player. Thus, it is prudent for courts to exercise caution before restructuring liability theories for the purpose of addressing specific market abuses, despite their apparent present magnitude. »
Dans le Matin hier:
Logements libres: on touche le fond
CRISE Taux d’appartements vacants au plus bas
Le taux de logements vacants à Genève vient de battre un triste record: au 1er juin, il atteignait 0,15%, le pire chiffre depuis 1981, encore plus mauvais que le maigre 0,17% de l’an dernier. Sur l’ensemble du canton, on comptait à peine 236 appartements à louer… et 25 à vendre![…] Pourquoi Genève connaît-il une situation aussi catastrophique? La réponse tient en deux points: la population augmente, et on construit très peu (1120 logements neufs en 2003, alors qu’il en faudrait au moins le double).
Évidemment en cherchant un peu on trouve… des petits 1 1/2 avec un rond electrique en guise de cuisine, généreusement offerts à 1500 CHF
Que dites-vous de
JH professionnel non fumeur, rejeté par les Régies pour cause de contrat short-term, cherche à sous-louer trou à rat, studio, box de parking tranquille et/ou tente dans un endroit ombragé, à proximité gare.
Je me dit en effet que le camping sur la place des Nations serait une voie de protestation envisageable. La Chaise ferait un bon parapluie et je pourrais surveiller mes trucs du bureau..
Quoi? J’avais pas un sous-location de reglée toute sympa? Oui oui. Permettez moi de résumer la situation en reprennant ici à mon profit les mots de Francois 1er…
From BoingBoing and WorldChanging
GeekCorps founder Ethan Zuckerman (whose org sends volunteers nerds from around the world to Africa to help extend technology to some of the world’s poorest nations) has a great essay up about the ways in which blogs currently fail to bridge the gap to Africa and how this can be changed.
update: also on SmartMobs, with more background on the paper
Supposons qu’un gars a une Gallery qui déborde et qui emboutit complètement sa limite d’espace de webhosting, mais qu’il est trop paresseux pour faire le ménage à la main, qu’est-ce qu’il fait?
Il farfouille un peu et trouve un script pour réduire la taille de ses images uploadées de 4 MP à 800*600 automatiquement. Avec un bon backup des originaux, la situation redevient tolérable pour quelques temps.
Ensuite, il attend que l’orage diminue pour rentrer chez lui sans tremper son suit et devoir s’en passer pendant une semaine le temps qu’il se fasse presser, et finalement souper.
Billet sur les référence neutres , avec l’exemple d’AustLII, qui y sont comparées à un Napster pour avocats.
Mention des IIJ/LII et du chapitre canadien géré par les collègues de LexUM
[via Bag and Baggage]
Information Technology Security Resource for Developing Countries:
The World Bank infoDev program has recently published an « Information
Technology Security Handbook, » oriented to the needs of individuals,
small businesses, governments and system and network administrators in
developing countries. The Handbook is now available on-line.
[via Dave Farber’s IP]
Grenadine et moi cherchions une rando sympa qui se faisait bien en une journée sans auto de Genève. Je mentionne à mon patron qu’on m’a proposé le Rocher de Naye, en haut de Montreux. Et lui de s’exclamer « Ahh, les Marmottes? ».
Alors oui, il y a un mini-zoo à la gloire des siffleux au Rocher de Naye, accessible par un train, qui a l’ambition avouée de rendre cette destination sympa aux familles. Enclos, dioramas, cossins, caméras cachées dans les terriers, de tout pour rendre le voyeur de rongeurs heureux. Il y a aussi une superbe vue sur le Léman, la » vraie » vallée du Rhone (n’en déplaise aux Français), et les pré-alpes vaudoises.
Alors sur mon checklist de clichés suisses, j’ai pu cocher voir des vaches (vues de loin mais dont la musicalité des cloches nous était apportée par le vent), picoler en montagne (en pique-nique ET en buvette), le train à crémaillère, les contructions montagnardes incroyables (resto creusé dans le rocher, accessible par un tunnel de 200m, pour que la terasse puisse être suspendue au milieu de la falaise et ainsi bénéficier d’une jolie vue) et surtout, une première pour moi aussi, voir des Edelweiss (dans un jardin dédié aux fleurs de montagne mais chuuut).
Bon, il y a aussi eu un bonus, il y a un gros gros chien de berger, un sosie de Belle, qui est venu me dire un bonjour quand on passait près de ses moutons. Il aurait pu me manger, mais il a préférer se faire gratouiller l’encolure. J’aime bien les gros chiens sympas moi. Dans un autre ordre d’idée (mais chronologiquement juste après) Grenadine a aussi découvert les vertus des orties…. Après avoir marché un peu sur la crète du Rocher, on est redescendu jusqu’à la gare au pied de la Dent de Jaman.
On est revenu en ville juste à temps pour les feux de clôture des Fêtes de Genève.
Dans la lignée de ce que je fais le week-end, et dont j’ai une liberté de discussion plus grande que mes activités de semaine, j’ai ammené Grenadine à Ovronnaz, pour qu’elle passe son décalage horaire a barbotter dans les bains. Les bains, c’est une jolie institution en Suisse, et en Europe en général, que mon patron m’exhortait à essayer depuis le début de mon premier séjour ici. Il avait bien raison, c’est super agréable. À la base, c’est moins diversifié que certaines offres que l’on a chez nous (genre Le Scandinave, Polar Bear Club ou le clinquant Ofuro), mais c’est familial, convivial, et la vue sur les montagnes, tout comme l’effet de l’altitude sur l’efficacité du bronzage, le logement sur place et les prétentions thérapeutiques de l’ensemble en font une expérience qui pousse à la récidive.
Bon, a Ovronnaz, il y a aussi du ski et de la randonnée, mais on s’en est tenu aux bulles des bains remplis d’eau minérale et au divers traitement de « Wellness ».
J’ai promis à Grenadine que je l’ammenerais à Felsen-Therme à Vals cet hiver
On a fini tout ca par une ballade a Chamonix. On est arrivé tout juste trop tard pour la remonté mécanique de l’Aiguille du Midi, mais on s’est consolé avec une bonne bouffe sur une terrasse avec une super vue. On est rentré sur Genève en se faisant acceuillir par les feux du premier aout qui petaient partout autour du Lac.
Note mentale: ca ne vaut pas la peine de louer une auto d’EasyCar depuis le secteur francais de l’aéroport pour sauver 10 euros.
Randonnée au Parmelan ce week-end. Pas tuant et géologiquement intéressant.
Compliment du w-e: un Neuchatellois qui s’exclame « Les Québécois, ils sont aussi fadas que les Neuchatellois ».
J’ai trouvé un lieu commun entre la santé publique et le droit des technologies. En fait, Slashdot l’a fait pour moi: L’article traite de la responsabilité des fournisseurs de services et de la divulgation des failles de sécurité qui pourraient affecter les utilisateurs de leurs services. La pratique qui prévaut actuellement, la loi du silence, montre selon moi une certaine immaturité de cette industrie; le constat reste que celle-ci ne traite pas ses clients avec une considération minimale et ne se positionne pas comme une partie d’une infrastructure respectable, solide et fiable, se réclamant de valeurs professionnelles. Serait-ce parce que la responsabilité corporative ne parait pas bien en assemblé des actionnaires? Bref, ce sont des peddlers et l’auto-régulation ne fonctionnera pas.
A comparer avec le manifeste « Software That Lasts 200 Years« .