The economy of fair use

Fair Use in the US Economy, September 2007, Computer & Communications Industry Association.

Je ne peux pas évaluer si la méthodologie est valable, mais l’exercice donne des résultats intéressants:

REVENUE
In 2006, fair use industries generated revenue of $4.5 trillion, a 31 percent increase over 2002 revenue of $3.5 trillion. In percentage terms, the most significant growth occurred in electronic shopping, audio and video equipment manufacturing, Internet publishing and broadcasting, Internet service providers and web search portals, and
other information services.

VALUE ADDED
Value added equals a firm’s total output minus its purchases of intermediate inputs and is the best measurement of an industry’s economic contribution to national GDP. In 2006, fair use-related industry value added was $2.2 trillion, 16.6 percent of total U.S. current dollar GDP.

Ozbus

Et moi qui me croyait pas mal avec mon Buenos Aires – Santiago et mes circuits improvisés en Chine…

12 semaines, 20 pays, de Londres à Sydney, en autobus: Ozbus. Ca doit être fou, avec le camping et tout…

Par contre, à 7700$, c’est pas vraiment un prix routard… Je me demande quel genre de backpackers dorés ils visent.

Facebook

C’est dur sur un blog Facebook… Je me rends compte que j’ai une fenêtre de temps pour loisirs informatiques qui est hyper limitée, et qu’en ce moment elle est dédiée à d’autres choses que Pressepapiers.

C’est un peu moche parce que la raison pour laquelle j’ai enregistré ce domaine était pour m’affranchir des services dans lesquels je n’avais pas de contrôle sur mon contenu. On dirait que j’oublie vite! Mais j’aime reprendre un bref et sympa contact avec des gens que j’aime et que je n’ai pas la chance de voir quand je veux, ou même de croiser par hasard sur la rue.

C’est le rêve d’un expat ce site, pas tant à cause des service offerts, mais à cause de la masse critique d’utilisateurs.

Par contre, Pressepapiers se voulait pseudonyme (j’ai pas d’illusions sur l’anonymat face à quelqu’un d’un peu débrouillard) alors que Facebook est éminemment nominatif. Grosse différence? Pas pour 99% du contenu. En fait, je pense que la grande majorité du lectorat de Pressepapiers me connait très bien 🙂

Je pense que je vais essayer de rendre à Pressepapiers sa vocation initiale: un presse-papiers pour les articles dont je veux garder une trace, ou des billets un peu aléatoires. Mais pour les updates instantanés de voyage (il y en a pas mal ces temps-ci…), ce sera FB.